top of page

DEONTOLOGIE

 

Le praticien préserve la vie privée des personnes qui le consultent en garantissant le respect du secret professionnel, y compris entre collègues. Il prend toutes les précautions nécessaires pour préserver l'anonymat des personnes qui le consultent ou qui l'ont consulté.

​

Le praticien est garant de ses qualifications qui définissent ses propres limites, compte tenu de ses formations et refuse toute intervention lorsqu'il sait ne pas avoir les compétences nécessaires.

​

Le praticien ne devra pas prétendre à des pouvoirs ou à des formations qu'il n'a pas. Il devra être prudent dans ses engagements. Il ne fera pas de promesses qu'il ne pourra pas tenir. Il s'abstiendra de toute publicité mensongère.

​

Le praticien dispose sur le lieu de son exercice professionnel d'une installation convenable, de locaux appropriés pour permettre le respect du secret professionnel.

​

Avant toute intervention, le praticien s'assure du consentement des personnes qui le consultent. Il les informe des modalités, des objectifs et des limites de son intervention. 

​

Si le praticien estime que la demande du client est néfaste pour lui-même, il se donnera le droit de refuser de travailler ou de recevoir cette personne.

​

Le praticien refuse toute demande d'un tiers qui recherche un avantage illicite ou immoral ou qui fait acte d'autorité abusive dans le recours à ses services.

​

Dans le cas où le praticien se voit dans l'obligation d'arrêter son intervention, il prend les mesures appropriées pour que la continuité de son action professionnelle soit assurée par un collègue, avec l'accord des personnes concernées et sous réserve que cette nouvelle intervention soit fondée et déontologique.

​

Le praticien fera toujours son travail dans la bienveillance pour un mieux-être du client. Le travail sera toujours fait dans le respect et avec dignité. Aucun abus ne pourra se justifier d'une complaisance, même active, du client.

       

Je ne suis ni médecin, ni psychiatre, ni psychologue, ni psychothérapeute. Je ne pose donc pas de diagnostic.
Mon action ne peut se substituer à un avis ou à un suivi médical et aux traitements qui y sont associés. Elle ne dispense donc en aucun cas de consulter un professionnel de la santé, chaque fois que cela est nécessaire.

Seul un médecin est habilité à poser des diagnostics, prescrire, modifier ou supprimer tout traitement médical. Toute question relevant du domaine médical doit donc être posée à votre médecin traitant ou spécialisé.
Enfin, je me réserve le droit de refuser de vous accompagner et de vous rediriger vers un spécialiste compétent si mon accompagnement ne me semble pas indiqué ou profitable à votre problématique.

En raison de ces différents paramètres vous devez veiller à bien  m'indiquer lors de notre première rencontre tout diagnostic, suivi et traitement dont vous faites l'objet ainsi que toute autre information importante relative à votre état de santé.

contre indication : schizophrénie et troubles bi-polaires

​

Adhérente au syndicat professionnel  SUP-H   

​

MÉDIATION DE LA CONSOMMATION

​

Conformément aux dispositions des articles L 611-1 et R 612-1 et suivants du Code de la Consommation concernant le règlement amiable des litiges : Lorsque le consommateur a adressé une réclamation écrite au professionnel et qu’il n’a pas obtenu satisfaction ou de réponse dans un délai de deux mois, il peut soumettre gratuitement sa réclamation au médiateur de la consommation. Le médiateur doit être saisi dans le délai maximal d’un an à compter de la réclamation initiale.

Le médiateur MCP MEDIATION peut être saisi directement en ligne à l'adresse suivante : www.mcpmediation.org 

ou par courrier MÉDIATION DE LA CONSOMMATION & PATRIMOINE - 12 Square Desnouettes - 75015 PARIS

bottom of page